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Monkey Theorem - Instinct Primate

by Monkey Theorem

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1.
couplet Ekors laisse parler mon instinct primate, dans cette jungle urbaine la bouteille vide, les bombe de peinture pleine hiphop de quadrumane un singe des villes mutant je rêve de péter le néman et faire les fil du temps se creuser les méninges bravant les limites de l'infini aprés quatre cinq taffes quand on s'improvise funambule sur le fil d'un oinj d'afghan (infinite monkey theorem) ou le paradoxe du singe savant couplet Kasper Amalgame d'élixirs dans un bécher au comptoir formule de magie noire manuscrites entre les ligne d’un grimoire distiller l’humeur lacrymales pour en extraire l’absolut Écarté du protocole fouler des terres inconnues (pas de soluces) J'évolue dans un tohubohu Un focus sur des dilemmes insoluble (Et en bonus) Dans la cohue de mots crus t'as reconnu ces résidus d'époques obscures révolues couplet Ekors ce qui vient chatouiller tes tympans c'est quelques textes de barges insensé rappe le fruit de la rencontre entre une machine à écrire et un chimpanzé je n'ai qu'un double décimètre pour quadriller l'infini la foule de mes chimères autant de statues de cire fondues dans un vinyle (deux mc's mi singe et mi homme) un peu perché vocab gonflé à l'hélium (triolet double croche) delirium et vitriol couplet Kasper Je laisse parler mon Instinct primate Dans cette jungle urbaine où je m'acclimate Tu veux apprendre au Singe savant à faire des putain de grimace On dira que J'ai pris place Dans habitacle d’un vaisseau pirate un amiral, animal, par miracle dans le cosmos Un bonobo astronaute besoin d'o2 à haute dose (essaie pas de singer la monkey theory) l'ère numérique est à l'agonie seul un gorille résoudra l'algorithme
2.
Le topo 03:44
couplet Ekors un ovni dans cet hiphop paranormal activities, la nasa dissequera l'antipop mon somor' en fond sonore sur les video youporn ou ta maman se tripote tu veut des images percutantes vla deux doigt dans tes mirettes c'est, c'est direct moi je suis fly mais pas comme les emirates mc je t'écoute rapper pfff tu m'intéresse comme une réunion tupéroir yo dernière fois que t'as casser des briques mec tu jouais à super mario pour être franc et honnête joue pas les scarla thug avoir ton flow c'est pas de chance comme être siamois par la teub microscope atomique du mal vous reperer moi dans le calbute j'ai les boules de la bastille et la tour perret c'est même plus frais c'est de la cryogénie mes rimes brillent au zenith je pose un couplet la foule crie au génie avec brio je débite recoit mes postillons comme une pluie d'eau bénite couplet Kasper Alors le rap tu trouves ça choukar ! Hein ? Jouer les loubars et te travestir pour faire du charme Arrête ton char, ta panoplie fait peine à voir comme un béret de falluchard MC loin d’être quiconque, t’as fait ça, t’as fait-ci T’as les couilles de King Kong, ya que ton avis qui compte Excuse ma franchise Mais ton clip s’apprécie comme un pub de lessive Pour toi aucune estime, quand les putes tordent du uc on les siffle Serre les fesses, tu sais pas où t’as mis les guêtres mec Monkey Theorem ! Bang Bang comme dans la mextape A la base, ni mieux ni piètre, mais j’ai quelque chose de divin Pourtant ni pieux ni prêtre On se moque du Game, de vos tatouages « onerone » sur les pecs De vos gaines de dingues, et vos clashs sur le sur le net Sans glocks en plastok, style d’amerloque On fout le smile à tes potes et fourgue la dope que ta mère smoke couplet Kasper & Ekors Prends ta claque du Monkey Theorem On fout le feu, tel une étincelle dans du Kerozen Cette paire de phénomènes a conquis tes oreilles On va te clouer comme Jésus pendant l’Antiquité Romaine Ya des culs de Jatte qui croient que ça va marcher, Le topo : y’a plus d’empotés dans le rap que des Japs dans la baie de Tokyo Une sous-culture selon les intellos chauves Vu que ceux qui passent à la téloche n’ont pas inventé l’eau chaude. Et on m’adule comme les aztèques Flow mastoc Et phases teck’ C’est fastoche Hélas mec T’as pas pas le stock Chéla le steack on balance les phases, à la pelle en méli-mélo millimétré eh les mecs, je vous, enlève le mic, z'avez le flow malhabile la rime illétrée salam alecoum, on déboule, fat, à la bat les couille tout les petits fours mec on les graillave danse le mia, allume les biatch fume l'aya y'à tout le monde au gala qu'as les boules eh yo mate l'équipe, met la barre haut, hooo
3.
Solilude 00:40
Mon cœur a fait ces sons, quand la raison ne s’y collait pas Quelques métaphores éparses pour parler de ce qui ne se monnaie pas J’ai mal, mal aux sentiments et je ne peux vivre simplement sans piment Sans promesses à cent mille francs, en silence, sans m’empiffrant de mélodies enivrantes Je brandis cette plume attendrissante Quand mon regard broie du noir et voit rouge en dominance
4.
couplet Kasper Comment je me sens ? Tel un cendrier sur une moto Un rétro de loco motive Un sourd-muet diplôme d’orthophonie Comme un pourliche à la boniche Avec la photocopie d’un faux billet de monopoly Alors je pète une 8.6 Et je roule un petit spliff de weed suisse La tête dans le caisson Je me cale à fond la zic triste Du nouveau MC que je kiffe Et sur repeat je clique Si j’ai pas saisi ce qui se dit Je suis trop guédro, Trop Accro Y me faut ma dose de bon son 2h au quotidien c’est environ ma conso Élevage de couplets nourris aux craintes Trissylabiques dans mon laboratoire Le langage soutenu, souillé Par un argot des plus bâtards Moi je vais direct aux vers sombres , Quand ma vie c’est vers ça qu’elle tend Flow patate quand j’ai le power Quand l’envie me prend de saper le temps J’ai du pot ouais La jouissance de ma plume Qui éjacule son encre La feuille vierge est en manque et consentante On me dit « tu rame » Comme quand Meetic cherche à maquer les laids « Ma qué nene ?» J’ai peiné pour pas que mes textes Soient consommés comme une plâtrée de penne Musique de pauvres à la Zoom / pas d’assistanat Prendre son temps j’insiste c’est rare comme un raciste anard Comme cramer sa Chesterfield au bar Une « kineuton » chez les nuls Du Monkey, la rumeur dit, Qu’on préfère de loin Le kilo de plomb au kilo de plumes Une plume dans la main, du plomb dans cette tête amère J’ai fait le choix d’être sincère, de me mettre à nu Monter sur scène la kékette à l’air Poser du verbe tel un pied-à-terre Sans savoir où ça me mène à termes Et si je regarde en arrière c’est clair ce serait la même si c’était à refaire Refrain vivre en freestyle au jour le shure appliquer le tarpé diem encore une foncedé, pffff j'arrêterais à l'énième entre chien et loups, du mal à de confier entre carpe et hyène alors on se persuade qu'on est seul et que tes affaires c'est pas les miennes sur nos âmes les chromatismes des parpaing déteignent un parfum d'éther le regard teint d'ébène artificiel est le paradis une free party dans le jardin d' éden couplet Vagabon' Du gros son c'est ce qui peut me sortir de ma dépression mon ultime thérapie, ma seule maison mon hérésie, ma folie, mes gros frisson pour le son j'ai sacrifié mon p.e.l, ma vie de famille j'ai plus un rond mais je suis millionnaire en mélodie je trompe ma femme avec Qbase et compagnie dans les antipop je postillonne ma joie, ma haine et ma colère pas rancunier mais la plupart du temps vénèr je crache sur les connards qu'on pas l'esprit ouvert la musique que j'écoute baise les homophobes et les fachos nous on pratique la rime pour les mecs en air force ou en ranjo qui sonne le glas c'est le Monkey Theorem tous contre l'état terroriste la guerre on mène on est des tas à écrire nos théories qui sonne le glas je te le dis c'est le monkey Theorem couplet Ekors inspire un air vicié, expire un air de wu tang éparpille maints éclats d'un tesson de regard vert bouteille derrière une mèche de cheveux brun zetla (3 temps) putain!, je prend de l'âge, mais j'essaie d'arrêter le fil du temps comme garrot l'aiguille des heures plantée dans le bras yeuz éclaté comme un orage d'été penché sur une feuille grand carreau à calculer jusqu'où le néant s'étendra? je me répand dans les méandres d'un vieux sofa les effluves de fin de résoi guetta mes yeuz' au fat laisse mes pensées s'entre-déchirer en milieu sauvage quand les mots s'embouteille dans mon oesophage une jeunesse vétérante que les excès terrasse pioche un extrait d'errance dans la nuée d'et cætera gratter des textes et péra quand le silence est infesté par des insectes et des rats cette génération funambule la regard fenêtre sur l'âme que la fume embue la lune en vue quand l'asphyxie morphe ma plume en bulle mon grain de voix pour enrayer les rouages d'une pendule et le crissement du mediator sur la corde du pendu distille mes pétages de plomb dans l'althanor pas grand monde qui ce sablier digital n' haïsse comme un ancien qui sourit à la mort en lui soufflant la fumée de sa gitane maïs et les soucis s'amassent comme la vaisselle pas de quoi rire dicave des trous de boulettes sur les ailes depuis que les anges consument la cire d'icare sativa indica traîner sa vie par les aisselles vu que c'est tellement moins facile d'y croire et ouais frérot, t'façon tous appâtés par le doute, sans dérogation au fond c'est drôle que l'hameçon, rejoue la forme du putain de point d'interrogation chercher l'étincelle dans les regard sombres comme des nappe de pétrole à force que nos droits s'étiole moi j'attend juste qu'on reste zen comme le kéro garçon comment je me sent, hein devine? des rayures sur les vitres de mon train de vie contraint de viser la lune avec des fusées de détresse quand leur bonheur en placebo s'échange contre un devis on craint le vide tout en rêvant de pied d'estale tu peut remballer tes stats' c'est le manque d'amour qui rend détestable mais bon, pull up moi çà selecta au fond, je préfère écouter nesta que bouffer du temesta
5.
Morpilow 04:50
------------------------- 1e couplet ------------------------- Eh yo mamen cest da kaspa J’ammène ma sale guaine et un bonne teille de pastaga 10 heures tapantes rencard au bar tabac donc apporte ta part gars Une montana sous la parka ainsi qu'une grosse barre de taga On fait quoi, ben on se voit après on voit ma foi après on bois tu sais quoi? t'appelle le fly ga faut qu'on soit un sacré convoi Y’ a gégé qui m’appelle vénère Ça fait deux heures qu’il poirotte tout seul au Belvédère roule un pet sévère du coca, du clan campbell, des verre dépeche toi de passer a rajah paske c ptet méfer Le type vrille Puisqu'on débarque à 8000 Dans son mini bouiboui avec nos clopes enduies d'huile Il est meme pas minuit vu ce qu'on enquise on finira vite cuit oui oui a mon avis c'est pas ce soir qu'on va tremper le biscuit ------------------------- 2e couplet ------------------------- On passe la porte Une armée de babacools Trois pochetrones qui se trémoussent et des kékés qui caracolent Croise un type que je connais! Comment ça va ma poule je me fraye un chemin jusqu'à la table où y'a l'alcool Quoi? tu veux pas boire mon rhum comment ça je t’en ai servi trop défense de tataner t’as pas vu l’écriteau et ya le type qui lâche une série de rots pose une galette essuie ses grosses babines sur les rideaux moi je suis agrippé à ma bouteille titubant sur du wu teng ou du wu tang je sais pas comment on dit mais ce que je sais c'est que tout tangue autour de moi floutage de ma vision périphérique bourré, je le suis very very prêt à serrer cette meuf vraiment pas terri-terrible sérieux, pour qui tu t'est pris chérie t'a vu ta gueule on dirait ribéry je vais brancher cette babs sapé en guenilles ptet que tout à l'heure elle me tête la queue même si mes propos sont sans queue ni tête mais la connasse n'est pas radine et je tombe son baccardi en même temps que je la baratine je lui demande le regard avide si y’a moyen qu’on aille tirer un petit coup, de carabine et je comprend qu’elle n’est pas ravie quand la baffe arrive et fait voler mon oinj de paraffine et ya mako qui joue le mariachi en chantant mano solo l’alcool se marie au shit quand il goûte au matos d’holow Tout le monde qui veut se coucher nous on est pas parti pour le proprio c'est l'enfer il ne sait plus comment faire pour expulser tout les démons du paradis fly crew dans ta party à se mettre la race gratis y'avais au moins 200 personne mais on a plié le bar à 10 Eh ouais mon pote dans l’armoire du daron y te resterait pas de la tise comme d'hab' on se tape l'affiche et on se barre avant que le pélo nous aplatisse Je fais l'inventaire deux spliff et un chouilla de pastis On fait quoi? Ben on va voire ce qui se passe à l’arakiss --------------------------------------- 3e couplet ----------------------------------------- Allo !! S.O.S alcolos C’est pour une urgence Avec mes sales potos on va tomber en panne d’escence, je marche entouré de mes pincos errant à lâcher des freestyles au bord de l’incohérent perché en haut de l'Everest J'te raconte pas l'ivresse, On va se poser au jardin de ville Avec la clique d'épaves qu'il reste on fait ça comme des gueuch 50° rien que ça enquille des grandes dose dégueu je vois que y'à plus de rhum dès que les un se mettent à péra d'autre sortent un poska pérave et direct posent de gueut esquive les shmits et les caméras Et ouais mon pote c'est Gre Faut qu'on s'assomme la gaine c'est l'heure de la weed SP comme d'hab y'a come again qui me tax ma fin de despé On finit sur un banc freestyle à t'en péter les tympans un qui pionse, un qu'est tout vert Vas y j'ai peut être un plan le pmu doit être ouvert
6.
Amertune 04:20
couplet Kasper Réveil baveux La morve au nez, la gorge ligotée Poumons crasseux Le corps estropié, le crâne pilonné Je file à l’évier, handicapé Du mal à piloter Une sale colique anodine Mon bide a mijoté Un de ces matins Sans l’ami Ricoré Quand la conscience me sort du lit Venant me rire au nez En bref ! Un levé tard de fêtard Avec en petit déjeuner Café noir pétard Un rab de riz au lait Le regard vide, collé Sur l’écran bariolé De cette sale télé made in Corée Hier ? Encore à picoler J’en prends de la graine ok Mais chaque fois il y a les remords qui viennent tout picorer Eh mec je suis si rodé Pété à quoi que ce soit Pas là pour siroter Il s’agit boire sans soif Et ce jusqu’à ce que la cirrhose éclate le foie “I got the funk” Chaque fois le même refrain !!!! Mais le lendemain t’inquiète je fais moins le malin Je t’ai fait le dessin Pour que tu capte a quel point ça m’atteint Tu lâche une addiction et un autre revient Malédiction d’un putain sagouin ! La gourmandise me bouffe Comme un casse dalle en gardave Car faire la bringue c’est S’épuiser la carcasse En toute humilité Mon rap c’est mon pare balles Huit mille idées, 8 mm A puiser dans mon cartable Quand je suis d’humeur Pas très loquace Le cerveau s’astique Et se soulage Par la même occase La déprime une manie trop « Has been » Car si mes peines m’inspirent En faire une force c’est à quoi j’aspire Etre seul en vrai, Putain ce que ça m’effraie Car à l’heure d’encaisser ben c’est tout à mes frais Je sens que le mal est fait Un cœur fossilisé par la défaite Peut être endurci Reste l’âme est frêle Cette expérience a dénaturé l’être Et yo ! dis moi ça donne quoi ? « L’Ekors est surépaisse frère » Il y a des jours Où je m’y habituerais presque Et d’autres où je désinfecte à l’alcool Car la blessure est fraiche couplet Ekors encore un de ces soir ou ma cécité foire sûrement trop net vu que se foncedé pour être honnête c'est éviter de voir je trouve cette rime à trois heures et quart mais je vais pas crier eurêka pour toutes mes idées noires pourquoi je n'écris qu'au bord du vide comme si je poussais mon rap à choir ben c'est qu' au fond t'as pas le choix, tu crache ce que t'as coincé dans la mâchoire, faut pas croire que je me force à faire du rap de rabat-joie à l'écrit je m' auto diagnostique je suis qu'un quidam caustique qui retournerait bien piquer une tête dans le liquide amniotique à 20000 lieue sous l'amertume, duper' sans carte nautique parfois je me dit qu'on est absent et que c'est seulement l'ennui qui crame nos stick pourquoi j'ai pas l'air bien portant? hein poto? j'invente les nuage dans un beau temps? au fond rien d'important je parle de tout de rien et au fond de pas grand chose pas de balnave accrocheuse mais quand je suis à cran je pose eh ouais mon gars je transpose mon putain de spleen en la mineur mort-pilot sous un luminaire en délit flagrant de prose j'avale du rap en dose quand je sais pas sur quel pied danser comme les flamands rose élève à l'école de la vie maintenant je récite ma leçon je coince quelques bouts de folie humaine entre mes respirations je met ma vie sur amortisseur pour atténuer les mauvaises vibrations quand y'a la fuite au bout de la ligne j'essaie d'esquive l'hameçon parfois je mort à l'appât quand j'ai le moral à pic égaré entre ici, la bas à chercher une" boussole dans le sous-sol de mes trisyllabiques j' explore les limbes de la pensée sa faune et sa flore une colonie de cafard planqué sous chaque métaphore met ça fort, essaie d'abord de décrypter ce que j'élabore je touche moins souvent le fond depuis que j'y met la forme
7.
Ekors midi et quart, mon regard écarquillé s'égare dans ce décor d' équerre ou on court sans écart poursuivant la stabilité quand nos routines à crédits gigotent coincé dans cet enclos vigipirate, caméra, vigile, mirador et clés digicode climat instable, une solution concentrée de gaz amoniac j'observe une pandémie paranoïaque mains dans les poches anorak, depuis que c'est face à un écran qu'on attend le prochain oracle j'ai la tronche pleine d'orage, au fond de ma gorge les mots racle et mes sales rimes s' emboîtent à 20000 lieues sous l'amertume, la vie sous marine angoisse laisse un goût rance dur de vivre à contre courant quand t' a le champs d'action d'une sardines en boite piégé entre les barrières de corail et les mailles du code barre j'écrit pour que le le train-train déraille moi je rêve seulement de traîner mes frusques autre part REF alors je navigue sur les bateaux des trottoirs entre trop tôt et trop tard, et je fraude le métronome de la grisaille plein mes crobars et je fraude le métronome de la grisaille plein mes crobars acrobate de la rime j'ai une oreille de chaque téco je transcrit ce que la vie me murmure à force de raper au pied du mur j'ai rempli ma besace d'echo les yeux de youri les phases d'éKors ou l'inverse, téma ce décor, ici j'éttouffe, mec j'ai des barreaux à la place des côtes et c'est mes poumons qui ont pris perpet' moi je me demande ce que la masse décode car l'inforrmation fait des crises d'herpès depuis que politique et média se bécotte je lit dans les sourires caméra qu'on a bien se faire mettre et ça me fout le flegme en court-jus pour traduire la langue fourchue y' à pas de sous-titres encore moins d' interprète les nouvelle fraiches servi sur un plateau tévé noisette de peur sur l' entrecôte de pop connecté avec nos nombril vu que tout le reste effraie aliéné par le stress reufré duper' dans cette drôle d' époque moi je voudrais juste qu'on me laisse rêver je veut rester vrai, quand les stevés se retourne comme des pogs franchir la ligne pour allez où c'est le chapeau d'oncle sam qui coiffe la map nos sociétés tout à l'égout évacuent vite les produits inflammable tu te bas ou tu t'en bat les couilles, la limite parait flou mais sache qu' ici t'es un marteaux si tu suit pas les clous moi je n'ai qu'un petit tas de plets-cou et mes yeux d' ex gamin quand ils posent carte sur table d' écoute l'insoumission rafle la mise en examen chaque jour une petite odyssée toiser les cyclope numérique, écouter chanter les sirènes la france à l'état policier des caméras à balayage quand la poussières d'hérésie traîne et j'hésiterai pas une seconde à cracher ce rap via mes trippes vu que mon identité ne tient pas dans un passeport biométrique le tissu urbain me garotte et j'ai le moral patraque maraude un sursis dans chaque track quand le quotidien nous rattrappe entre la carotte ou la matraque PAW Si tu peux attrape moi.. REF Vu que je navigue sur les bateaux des trottoirs entre trop tôt et trop tard, et je fraude le métronome de la grisaille plein mes crobars
8.
Je suis qu’un parcours atypique, tout ce qu’il y a de plus ordinaire Un boulimique chez nos amis transatlantiques Un bouton d’acné sur une face de pré-pubère Un nichon synthétique dans un film X Une fausse note de plus dans un orchestre de bras cassés Une vie insignifiante, sans valeur ajoutée Mon opinion est cadenassée Je suis bon qu’à cravacher Une vache à lait, le cul entre les deux coussins du canapé Une viedemerde.com En route pour le crématoire Je fais la collecte des 06 dans le répertoire Des amis Facebook Des pins et des tuperoirs Nombriliste qui pense à mon prochain, que dalles Mais Donateur aux ONG pour me persuader que je suis quelqu’un de bien, remarquable, brillant, intelligent, qui se bonifie en vieillissant J’y croit vraiment Ouais ! J’écoute de tout, je vais au théâtre car c’est super enrichissant ! Ouais ! Viedemerde.com Voter pour le plus coté, puisqu’on rêve d’être à la tête de l’essaim d’abeille Pour Brandon tapez 1 A ce qui paraît c’est la même merde la différence c’est que ca pue pas pareil A ce qui paraît, le prêtre est pédophile A ce qui paraît le rabbin un putain de radin Je crois bien, que l’imam du coin forme ses fidèles au terrorisme Que l’appât du gain est caché sous le dogmatisme La racaille, v’la ce qui nous tourmente Quand ils ne trempent pas dans l’illicite ils initient nos sœurs à la tournante Je te jure, c’est plus ce que c’était Si les vieux le disent c’est que ça doit être vrai C’est Dead, en 2012 ca va péter c’est ce qu’ils ont dit à la télé « A ce qui parait il serait pédé » Je suis pas contre je suis pas pour Je suis plus neutre qu’un suisse au fond tu sais j’ai pas de personnalité Vie de merde.com « Une petite pièce ? » Désolé c’était ma dernière « S’il vous plait » Trouve-toi un taf au lieu de glander tu me prends pour qui Je ne suis pas l’Abbé Pierre basket et branches de lunettes assorties, toujours impec Vie de merde point com Les jeudis soir au Body Pump depuis qu’on m’a traité de gros sac Le regard des autres m’estomaque Coctaïl de créatine et de prozac A l’occase aller se taper une petite prostituée slovaque Et faire parade pour montrer qu’on en a du bifton sous le matelas Mais dans le citron y’en a plus Je rêve d’un fils modèle Que je ferai marcher su mes pas Mais je le ferais pas j’ai trop peur d’être déçu Viedemerde.com Escale au Mc Drive, Mayo qui tâche le pull Etre à a mode, à la pointe, se tenir à la page de pub ! Nouveau modèle que l’on cours acheter Je fais la course aux pouces sur écran Full HD Les courses au Discount, les smiles et la ristourne cleenex mentholés Les promos 30%, Échantillons gratos Etre le client suivant Compose ton code à l’abri des regards indiscrets Sourire crispé vous êtes filmés, flashés, vos pensées décryptées Sapristi ! Choisis ta tapisserie Choisis ce qui est fenchoui, Les plates à Ikea et ses vacances à Walibi Entre coca et pepsi, choisis un forfait illimité, ton plan d’épargne, des gentes allu, Mac ou PC et autant de futilités Choisir ce qu’il a été décidé Une poignée de mètres carrés dans une ville terne Vieillard aigri en herbe qui a choisi sa vie de merde Une existence pathétique, c’est ce que suinte mon épiderme VDM
9.
Incertilude 01:44
10.
Jardin Zen 06:00
Ekors je prend du recul, mate notre histoire de l'extérieur comme derrière un miroir sans teint j'ai bien du faire quelques erreurs vu que j'arrive à la dernière page de notre histoire sans fin je voulais t'écrire des caresses, mais tu m' a écorché comme un Chaïm Soutine voilà ce que chaque rime soupire tu sais, moi je m'y plaisait dans notre petite routine s'aimer en roue libre se comprendre sans sous-titres pas que du mauvais dans ce que les piges soulignent pourtant, on a finit par s'emboutir par arriver en bout de ligne nous le dernier couple encore debout comme une quille de bowling aimer comme ça, est-ce que j'en aurais encore l'occase? depuis que t'as fait de mon coeur une poupée vaudou j'ai les mots doux qui restent empêtrés dans les cordes vocales parfois j'essaie de t'en vouloir j'y arrive pas vraiment l'amour c'est douloureux, on m'avait prévenu des désagrément parfois j'essaie de te pardonner, j'y arrive pas non plus on s'était promis de rester debout même si les balles ont plues j'avoue, notre histoire prenait la poussière mais je t'ai laissé tout bousiller à trop roupiller sur une poudrière je retrouve mes doutes d'hier réendosse ma déprime, fouille les poches, je croit bien que tout y est toi et moi pour la life nos initiale au canif notre petit appart' assuré à la maif, pfff j'y croyais, moi j'étais grave naïf allez, j'essaie de penser à autre chose entre deux rafales de flash back du vitriol dans mon eau de rose on à pris grave de l'âge mate ce morceau c'est le fruit de notre échec, et je t'en recrache la pulpe à quelle vitesse la vie nous catapulte! on a grandis trop vite, tu sais moi je suis qu'un peter pan affublé d'un costard d' adulte on s'est perdu pour des histoires de convenance parce que du couple, on avait pas la même définition j'essaie de mettre les choses à plat comme les vinyles sont disont, qu'on avait bâti une histoire solide mais on avait bâclé les finitions l'amour et la haine dans un shaker d'une main tu me caressais la joue, de l'autre tu m'arrachais le coeur c'est fou comme ces quelques mots m'ont détruit, et puis je sais pas ou ranger ma tristesse tu t'est barré avec l'étui, c'est cuit j'essaie tant bien que mal de me tenir debout en empilant mes gravats dans ces moments là, la peine se crache autant que la fierté se ravale c'est grave, épitaphe sur cd gravable je caresse l'oubli à la flamme de qué-bri y me reste que la fume et le cromi pour balayer les débris de ce qu'on c'était promis la plume et toi, mes deux passions sur un feuille blanche, une étrangère, une indigène l'une se couchera, l'autre en tracera le contour une photo de toi sous un 10g tu l'avais chassé de ma tête, alors normal qu'il t'en chasse à son tour je te souhaite du bien, tu sais, mais voir que tu l'est, ça m'ouvre les yeuz ainsi que la plaie ça me montre à quel point tu m'a vite zapper et vu que le temps espacera nos envies de s'appeler entre les fantômes de tes sourires, et ce qu'on a foutu sur ma route je m' ennirais zigzaguer, les pétales d'une zik' fanée je trouvais le bonheur, simple, comme nos dimanche pizza télé même après x années toi t'en avait à revendre alors tu me partageait un peu de sourire je me rend compte à quel point tu me tenait debout depuis je suis comme un petit poucet qui sème des queues de souris au long de mes nuits en queue de poiscailles, un peu triste, un peu rébou sauf que moi au bout de la piste, je retrouverais pas tes bras alors j'enchaîne les soirées de galérien cherche un peu de rêve à tégra du carburant pour mes raids aérien alors comme ça, ton amour s'est tari marie égaré dans ce charivari j'ai le moral qui chavire à vide depuis que je suis seul à la barre de mon petit navire à dériver sous le mistral, du mal à envisager l'avenir sans ton joli boule de cristal, tu parles je me force à rire même si j'ai pas le coeur à ça le sourire n'est que de passage car même une boulette au pied les regrets émergent toujours entre deux rasades et je continue, à vivre en pointillé, à faire semblant je suis complêtement paumé sans le plan j'en ai pris de la graine que ton amour me laisse en plant et j'essaie de fuir ma putain de boite crânienne et ses souvenirs tapis dans chaque recoins t'inquiète, pour çà mr jack daniel et moi, on à nos combines aussi vrai qu' arlequin perd ses couleurs quand colombine troque son sourire contre des mâchoires de requins la tombe de notre histoire tu l'as creusée comme cette ride sous le vert-de-gris de mes yeuz' toi qui partageait la vie d'un ovni t' éclairait mes insomnie t'était ma petite veilleuse ta présence m'apaisait elle éloignait mes fantômes regarde moi, la poitrine rapiécée à pourchasser mes rêves en trom je te parle à nu, c'est pas ce soir que ma plume s'endimanche donc pour une fois j'use d'un vocab aussi simple que mes sentiments j'ai pas le coeur en ciment, j'ai trop senti le manque mais bon parait que c'est quand t'as mal que tu te sent vivant peut être, mais j'entame une thérapiphop sans médoc, sans divan ouais j'écris pour me libérer de toi, me désenticher l'amour? comment en parler sans cliché? au fond c'est pas le problème mais plutôt comment en parler sans tricher j'ai de la corio dans les artères et sous le baranne les parpaings saignent des souvenirs par vingtaines j'ai découvert la profondeur de l'océan sur la plage d'un jardin zen mais je l'ai laissé s'évaporer au dessus du bec de gaz bunzen
11.
---- Couplet Kespar : j'continue à écrire des textes et à brasser du vent pendant que t’es sur le parking du nightclub à cracher du sang   j’suis pas au mic pour changer le monde, c’est mon plaisir perso sans objectif, sans but mon rap c’est du hoola-hoop sans cerceau   Kespar et Kasper et les Dalton pour ta référence On continue cette douce danse qui te plonge dans une courte transe   les rimes sont courtes et franches même si le flow est lourd et dense d'une précision clinique comme un savant dans sa blouse blanche   j’écris ma peine salie, quand chacun fait sa vie seul sur le parvis et sans pare-vent je recherche mes amis   sans travail ils attendent que tombe l’argent du RMI pendant que l’afrique est affamée par les cols blanc du FMI   je rentre dans un nouveau cycle pendant que le monde tourne en boucle je sème le désordre avec tous mes fauteurs de troubles   a s’y méprendre, nous sommes tous des agents doubles j’pensais pas qu’on me laisserait crever sur la route, mais là j’en doute   ----- Kasper Mi música sigue siendo algo serio nos es un juego para niños sigue natural no tignida sin silicona en el corpiño Al escenario hasta volverme legendario Si ! como Maradona en un estadio Sigo un goleador de lo lokos flyos Rap Entre mi labios, en serio no son o falsos ensayos Hace ya mas de 5 años Sigo con este mismo animo el que me persigue Me fijo en las Ideas que recibo y las escribo con el estilo que mi mente exige Así ! Mi símbolo, sigue siendo el simio Sigo hablando de mi exilio, de ese trauma con el que vivo Sigo ! Queriendo tener éxito En este sitio este país con su idioma usando este mismo léxico Pero mi motivo sigue siendo Desafiar a los escépticos con mis versos eléctricos Refrain Dalton Vibes On continue de mener notre barque pendant que l'eau coule sous les ponts le phare de nos pensées à vue à chaque coup de rame nous l'approchons Le navire vogue encore Et on perd pas la trajectoire On virera pas de bord Esclave du port jusqu'à la fin de l'histoire On continuera à faire ce que l'on aime Fidèle à nos racines à la couleur de notre emblème Kespar, Dalton Vibes et le Monkey Theorem Toute l'équipe au complet pour développer le phénomène ---- Couplet Kespar : j’essai d’apporter la paix, même si l’enfer c’est les autres regarde comme la médiocrité enferme les nôtres   on encercle les vôtres et on sharkle les traitres à la quête d’un coin au soleil où trainer nos guêtres   je suis barge mais esthète et ta mère j’la respecte notre rap reste strict et très loin de vos sectes   réflexe de survie j’envenime mes sentiments la vie c'est jamais ce que tu crois et ça s’passe jamais gentiment   j’ai pas le temps d'aller lentement, j’suis faya comme le lancement d'arianne 5 et je m'excuserai pas pour tous les manquements   je représente pour mon équipe et ceux qui comptent dans mon estime j’écris des rimes pour que ça pète comme de la nytroglycérine   donc j’continue à décevoir, le public rap a des œillères on lâche les pitts mais la plupart ont gardé leur muselières   toujours trop fier pour se taire, sérieux dans nos affaires les choses il faut les faire car court est notre séjour sur terre ---- Kasper Sigo rapeando mano contra el pecho Es lo que mas respeto Es cierto y mis versos son mi reflejo en el espejo Sigo igual con qualidades y defectos Tratando mejorar pero como todos imperfecto Y de De hecho Sigue pasando el tiempo,y siento que se me consume como un incienso Pero no finjo sincero con aliento Y hasta el gran silencio, siempre seguiré diciendo lo que pienso Sigo manchando paredes, Siendo Uno de verdad entre tantos que solo se parecen Que Amanecen y a tres tags desaparecen Muchos hablan mierda, de eso claro que padece Nuestra cultura, nuestro arte Hay tanta hipocresía y tantas lenguas de serpiente Mi droga es pura como siempre Quien es Monkey Theorem Con las ganas sanas en el vientre -- Refrain Dalton Vibes --------
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Astrolude 00:45
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Saint Nessbi 05:26
Kasper On vit une sale époque Être pété de thunes c’est capital Allez Fuck ! Si c’est pour vivre en heure de pointe Ben je m’en bats les yeuk On est combien à porter plainte Car la faune se fait dévorer par les yènes La loi de la jungle a trois devises Euro dollar et yen Tout se vend à souhaits, et bien loin de l’argus Dans un système nerveux est au bord de l’infarctus Modèle incontesté Où l’organe judiciaire a des crampes à force de molester Où le mot respect se fait tout petit n’a la parole que quand la monnaie se tait le papier en filigranes Remplaça la bible Comme des poissons dans un bocal On rêve de nager aux caraïbes Soudés, quand on se croise aux manifs Y croire tu trouve ça noble, Moi je trouve ça naïf Individualiste au fond c’est ça l’esprit Car on ne jure qu’au nom du pez du vice et du saint nessby ! Ekors et j'observe, babylone vriller de mille feux, sous les spots, au zénith d'une société de consummation aux besoins phoenix depuis que l'inutile est photogénique le superflu s'entasse dans le coffre d'un scénic le monde, une histoire de cul et de fric comme un retro polar l'esclave de l'or trouve la liberté dans ses chaînes solde bancaire devient numéro de taulard le prix de la vie d'un paysan tchétchenne se convertie en petrodolllar fluctue selon celui du plein d'essence chez shell ici, rien qu'on se les gèles des envies d'évasion mastoc, mais je... ne voyage qu'au fond de mon paddock vu qu'il n' y a pas de ligne de bus, place dorian / seychelles les relation humaines des combat de coq à plus ou moins grande échelle quand la folie monte en creshendo ne parle pas de contact humain à des che-tron de pare choc perdu au milieu de la file d'attente à rêver d'autarcie pour nous l'exode c'est vodka de saint petersbourg ou bédo farci paris new york en vol classe 1 attaché case et gros garci un costard et des mocassins elle à changé notre démocratie tout ce qu'on entend c'est cocasse, hein libre par là, égaux par ci mais ce qu'est pas typé caucasien picorent les miettes de cette époque rassie ça fait des piges que j'ai l'espoir défaillant et je trouve pas les pièces de rechanges chez mon détaillant je rêve de paix mais je me réveille quand la vie me pince, baillant que j'ai rien d'un prince vaillant et je sirote un sky en spectateur du chaos aboyant comme un chien de faience leur charité n'à que des fils de bave pour s' ammarer deux semaine d'humanitaire en chemise à fleurs en somme qu'on se lance ils me font grave marrer dès qu'un bon raz de marée fait grimper le cours de la bonne conscience àrrête ton cirque bon sang ta solidarité vaut le prix d' un sms de circonstance puisqu' il faut dire ce qu' on pense aider les autres pour s'aider soi même, moi je vois ça comme un des pire non sens du nombrilisme incognito sous une bebar' postiche encore une sale potiche prête à chialer en direct pour une bonne cause toujours qu'est-ce qui vous reste d'altruiste à part vos speech ta révolution casse pas trois pattes à un anar' toujours le même discours servi ledge tout niquer sauf tes privilèges sérieux arrête ton tintamarre on a beau masquer nos instinct primaires mais sur nos rétines les fait divers de demain sont déjà imprimées c'est la conscience qu'on incinèrent on a retrouvé ses restes au fond du sous sol d'un ciné pas perdu nos penchants barbares ,on les remplace mate passé la mode des jeux du cirques, prend ta dose d'hémoglobine sur l'écran plasma je gratte mes diatribes assis sur le billot, ptain qu'est-ce qui peut traverser l'esprit d'un monsieur guillotin ici bas la raison est rare comme une concierge sans potin j'aimerais bien en parler à dieu mais y'a pas son blaze dans le botin d'autant plus que l'auréole ne ma pas vraiment au teint Individualiste au fond c’est ça l’esprit Car on ne jure qu’au nom du pez du vice et du saint nessby ! Kasper Time is money, et le reste détalle Je pense à l’appât du gain des Taï Foutant des gosses sur le trottoir Disons que l’âge n’est qu’un détail L’ascenseur en panne Ca s’entasse au rez de chaussée comme du bétail Et ça se marche dessus Rêvant d’être blindés de maille Dans les beaux appart à l’étage Belle caisse dans le garage Et surtout sapé style Si réponse est bas les pattes T’étonnes pas qu’on aille s’engouffrer dans les failles J’ai pas compris les règles Le PIB de la Bolivie, c’est le prix D’une nuit hôtel à Dubail On loue cette terre à notre marmaille La caution est dérisoire Allez-y hottez-la du bail L’orient met tapis rouge Sur un fioul au 4x4 l’occident remporte un pipe line Sur la dead line Le futur se dirige en « drive by » La fin de l’histoire on la connaît Ça fera boom Bye Bye Kasper & Ekors au nom du pez du vice du saint nezbi, certaines ethnie deviennent vilain petit canard et le vilain petit canard devient cygne ostentatoire à cette allure je prédit le carnage quand l'homme se communautarise un crucifix ou un west coast en tatouage la folie, souvent je me dit qu' elle est universelle et héréditaire tapie partout des postillons d'une insulte jusqu'aux décrets hitler tous prédateur entre viande rouge et illé-bi vert et vu qu'il faut s'attendre au pire moi j'écris ma misanthropie pendant mes longues veillées d'hiver un desert eagle dans la bouche et si l'humain est une carie, il s'occupe lui même du plombage envoie le beat la boucle est bouclée c'est à la vie à l'amorce de l'ultime bombe h
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Refrain Je cherche à vivre avec mon temps Un caractère lunatique aux sentiments Et des douleurs spasmodiques au palpitant Cela disant, je ne tiendrai pas dix ans J’écris ce qui me prend Quand l’angoisse se fait entendre par des cris stridents couplet hurlé à la mort, d'une voix à érailler sa faux les aiguille du conteurs de fée s'affole j'ai quitté la cohorte aphone depuis que j'écoute aux porte-à-faux au fond la vie n'est qu'une métaphore un micro deux platines posé sur l' échafaud couplet Kasper Regarde ce corps trop grand C’est clair qu’il ne rentrera pas dans vos cases Ces moments en décalage Pourquoi j’en compte autant ? Hein ? Je vaut mieux que ça En guise de pauvre slogan En vrai comme sur le beat je marche à contretemps Les hauts, les bas m’en donnent mal au cœur J’ai pas le moral en fleur Et je cueille les fruits de mes erreurs Par grappe d’aigreur Faisant le constat de l’ampleur des dégâts Je me vois la gueule en sueur Et face à mes faiblesse Je ne voit que rancœur Je suis trop deux de tens pour être à 100 à l’heure j’ai pourtant pris un beau départ Mais dans mes choix freiné par ma lenteur La zic est ma lanterne Foutent peurs en quarantaine Et mes dilemmes entre parenthèse J’attend comme un connard que ça se tasse C’est pas une technique efficace Mais c’est comme-as que sa se passe à part moi qui peut me comprendre Alors je me force à écrire même si le moignon tremble J’envoie au charbon mon crâne et mes deux doigts Pour ne pas finir impuissant Comme un pénis qui ne raidit pas Adolescence passée le nez dans les ordis, Chéper H24 Je poussais mémé dans les orties Je veux me raisonner aujourd’hui Je fait mon possible Prenant le contre exemple Sur les potes les plus paumés de mon possee Anxieux face au pire On ne sera jamais copain avec cette pute et sa fauscie couplet Tipa essaim de bactéries, dérive d'épaves, de rythmes dans les coins éparses que seul les basses dégivres je révise mes bases, mes rimes sur ce riff de gratte, je m'efface et sprint sur la pointe de pas pas, je déballe mes rimes à dépeindre mes râles dans un clash terrible parle pas de répit, qu'un projet me tilt qu'un lendemain doré prime grêle de projectile en pleine tête le pare brise dans le terre plein, conséquence logique au micro je gémis, le serment de toucher mes rêves s'éjecte au zénith depuis je gratte des récits ternes que les décibels décrasses je déplie mes ailes du dixième étage sans second souffle car un dilemne m'écrase, mes démons me soufflent Passionné t'encaisse des claques pour un dixième d'extase alors ce soir seul, je gratte je cogite salement jcrois que mon crâne rugit car mes fusils crachant lancent croissent des noirceurs, elles m'occient gravement mate je m'empale, je souris pas, musicalement je ploie sous les ardeurs de mon imaginaire agité ou 1000 mals générent des tourbillons de mirages divers pacifiés en images inertes, 'y maquille ferme des archipels de maquis d'braise en un paysage d'hiver je braille ce rap tribal a deux balles, aride sale chimères abyssalles, j'ai les batteries pleines de la mineur dans l'habitacle, amicale bien qu'à demi calme sur le callepin je me rêve en moucheron écrasant, écrasant... écartelant la mygale couplet Ekors traîner la cohorte de fantômes que comporte nos cordée alpiniste du moral en dent de scie laisse les corbeaux me border à petit feu, suicidal tendancies regard pesant, un baluchon d'idées mornes aux cornées sonné à coup de poing d'interrogation, l'écume et la discorde au bord des lèvres, trouver des réponses en une nuit, blanche j'ai rendu copie je m 'attend plus qu'au pire depuis que l'enceinte accouche mes dernières utopies pendues avec le jack ombilical dans un morceau mort né chéper au dessus du vide seulement agrippé au bic je disperse quelques pensées obliques dans ce putain de panorama orthonormé, ouais on avance vers l'inconnu à la queue leu leu frère vu qu' à défaut de changer le monde on ne peut que le refaire donc on le refait encore ivre au petit square à l'heure ou les coeur froid cherchent la chaleur tropicale près de métro pigalle jette une bouteilles à l'amertume, message de paix sans trop y croire vu que la vie accélère et que mes utopies calent laborateur j'ouvre le bec bunzen, distille mes rimes alambiqués si mes formules se vérifient je ferais des flammes sans briquet imbriquer des syllabes à manipuler gantés je laisse décanter quelques sentiments éprouvés dans le fond d'une éprouvette, fait groover, quelque blanche de blues en blouse blanche et le théorème est prouvé Refrain Je cherche à vivre avec mon temps Un caractère lunatique aux sentiments Et des douleurs spasmodiques au palpitant Cela disant, je ne tiendrai pas dix ans J’écris ce qui me prend Quand l’angoisse se fait entendre par des cris stridents couplet hurlé à la mort, d'une voix à érailler sa faux les aiguille du conteurs de fée s'affole j'ai quitté la cohorte aphone depuis que j'écoute aux porte-à-faux au fond la vie n'est qu'une métaphore un micro deux platines posé sur l' échafaud

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Instinct Primate est le premier album de Monkey Theorem, groupe de Hip Hop de Grenoble.

Album free download : contratak-prod.fr/monkeytheorem/monkey-theorem_instinct-primate_mp3-2011.zip

VIDEOCLIPS :
Quadrumane 2.0 : youtu.be/kypI5sgY79I
Le topo : youtu.be/5ose7D1Z4c4
Instinct primate : youtu.be/PaaD-FDp6fE


LINKS :
Bandcamp : monkeytheorem.bandcamp.com
Facebook : www.facebook.com/the.monkey.theorem
Soundcloud : soundcloud.com/monkey-theorem

Contact Booking : Association Contratak Prod - contratakprod@hotmail.fr

Facebook : www.facebook.com/the.monkey.theorem

credits

released May 4, 2013

Texte & Rap : El Kasper & Ekors
Prods : San Stratega, Léon Roubiñol, Pipo, Rigolitch, ZKP, Gast, Dj Okupe.
Scratch : Dj Skore, Dj Okupe, Léon Roubiñol
Chorus : Pipo
Mix : Jules Hervieu / Mastering : HP
Artwork : Monkey Theorem, Zélie Copter, Meaghan Major

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Monkey Theorem Grenoble, France

Youtube : bit.ly/2PuIQcm
Website : monkeytheorem.fr
Bandcamp : monkeytheorem.bandcamp.com
Facebook : www.facebook.com/the.monkey.theorem
Instagram : www.instagram.com/monkey_theorem/
Soundcloud : soundcloud.com/monkey-theorem
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